Le désir du père d’assouvir sa soif du savoir (en kabyle, on dit : Ayit takad) et le refus de la souffrance des femmes illettrées et ignorant leurs droits, avaient pesé dans le choix de Farida. Ce ‘testament’ était exécuté vingt ans plus tard. Le rêve était devenu réalité. Elle était sortie docteure en 1993, à l’âgeLire la suite « Docteure SADOUN : le plus c’est de soigner aussi les ‘sans-rien’. »
Archives de l’auteur : saidhamichi
ATTAF thalhajt Ouardia : Une mère presque parfaite.
L’homme kabyle vante et chante des louanges sur Dyhia et Fadhma Nsoumer. Sait-il qu’il a, peut-être, dans son foyer leur future héritière ? Le kabyle a tendance à montrer qu’il aime sa mère ; c’est bien et elle le sent. Elle a besoin et mérite plus de respect que d’amour, ce qui exige plus d’efforts.Lire la suite « ATTAF thalhajt Ouardia : Une mère presque parfaite. »
AMAR BOUKHALFA : Le boulanger errant devenu père commerçant.
En 1990, Amar change radicalement d’activité, il est devenu commerçant – patron. Ce choix n’était certainement pas fortuit. Sa femme a dû faire sentir à Amar le bonheur d’être avec les enfants les soirs à la maison au lieu se sentir la farine toute la nuit. La chance du boulanger errant : son épouse, sa mèreLire la suite « AMAR BOUKHALFA : Le boulanger errant devenu père commerçant. »
AMAR BOUKHALFA : Une école pour vivre sans soucis : le ‘saint’ Amar.
Il est en bonne santé, à 82 ans; il a quatre garçons éduqués; il a ‘servi’ les libérateurs du pays; il a toujours travaillé, jusqu’à ce jour, comme il voulait; il est une source de paix; et il n’a pas de problèmes. N’est-ce pas cela le bonheur ! Il est un homme qui a échappé, àLire la suite « AMAR BOUKHALFA : Une école pour vivre sans soucis : le ‘saint’ Amar. »
L.T.E – Le Lycée Technique d’Etat de Dellys III : Un lycéen éduqué, maître de son destin.
Dans le passé proche, le jeune lycéen et étudiant, avait étudié dans des établissements scolaires et universitaires, et vécu dans des résidences dotées d’équipements sommaires et de confort minimum. Il n’y avait ni mobiliers confortables, ni bibliothèque, ni laboratoires, ni eau courante…. Ils étaient opérationnels, propres et bien entretenus, quotidiennement. L’élève, devenu étudiant, L’éducation, seule,Lire la suite « L.T.E – Le Lycée Technique d’Etat de Dellys III : Un lycéen éduqué, maître de son destin. »
L.T.E – Le Lycée Technique d’Etat de Dellys II : Un nouveau monde.
Derrière c’était le mur, devant c’était la mer, dans la tête c’était l’attente des pères et des mères. Cette période si courte en durée était riche en histoire. Certains la qualifient de ‘la belle époque’ quand d’autres la considèrent comme une période ‘sombre d’internement’. Quelques-uns la comparent même à Alcatraz. Y a-t-il le ‘syndrome deLire la suite « L.T.E – Le Lycée Technique d’Etat de Dellys II : Un nouveau monde. »
Le Lycée Technique d’Etat de Dellys : ‘Une fabrique’ d’excellence et de réussite
Les trois années du L.T.E m’avaient appris à ‘réprimer’ mes besoins et mes désirs autres que ceux de la scolarité. J’avais appris à résister à la jouissance de l’argent disponible en poche, réservé et affecté, aux achats de produits indispensables. Mon budget pour les deux ou trois mois d’internat, entre les visites, était de trente-sixLire la suite « Le Lycée Technique d’Etat de Dellys : ‘Une fabrique’ d’excellence et de réussite »
MOHAMED HAMICHI : une intelligence à l’état pur et une modestie naturelle, réunies
La morphologie et les attitudes de Mohamed confirment sa tendance à rester discret. Elles ne montrent pas de personnalité particulière remarquable, de l’extérieur. Il n’est pas du genre à taper dans l’œil ou à plaire aux anciens par flagornerie, par tradition ou ‘par principe’. Quand il parle, il est écouté sans hausser le ton, sansLire la suite « MOHAMED HAMICHI : une intelligence à l’état pur et une modestie naturelle, réunies »
Bonne Année
Souhaitons que cette année 2022 apporte, à nous tous et toutes; à chacune et chacun, réconfort, espérance, bonheur, et raison. Quant à la santé, soyons vigilants, elle dépend aussi de nous.
Le KANOUN : ‘l’université familiale’ d’humanisme et d’élévation de l’esprit.
Le kanoun était l’endroit unique où on écoutait les histoires sur nos ancêtres qui finissaient par une lueur de justice, d’espérance et d’humanisme. Il nous donnait des leçons d’histoire dans lesquelles nous déduisions ce que nous devons être et ce que nous devons faire dans le futur. Il voulait nous faire croire qu’un monde meilleurLire la suite « Le KANOUN : ‘l’université familiale’ d’humanisme et d’élévation de l’esprit. »