HAMRAOUI Yacine : Un nom à retenir, un Awaqur à découvrir

Certains diront, c’est le fils de HAMRAOUI ARAV, ils le reconnaissent, avec raison. D’autres s’interrogeront, qui est ce ‘jeune homme’, Yacine ? Ils n’ont pas tort, il faut le découvrir et le connaître. Car, au niveau national, il a acquis une réputation de négociateur et de défenseur des droits des enseignants.

Certains diront, c’est le fils de HAMRAOUI ARAV, ils le reconnaissent, avec raison. Effectivement son père était connu pour son passé de condamné à mort par la France, de maire de Maillot, de Directeur du bureau de main d’œuvre de Bouïra, autre autres. D’autres s’interrogeront, qui est ce ‘jeune homme’, Yacine ? Ils n’ont pas tort, il faut le découvrir et le connaître. Car, au niveau national, il a acquis une réputation de négociateur et de défenseur des droits des enseignants. Par son parcours d’enseignant militant, son engagement syndical et sa fidélité à un idéal social, il mérite d’être présenté à Iwaquren. Il fait partie de notre riche patrimoine humain. 

Âgé 56 ans, Yacine est né à Alger, dans une famille de six garçons et trois filles. Il est père de 4 enfants, une docteure à l’hôpital Mustapha à Alger, une diplômée master2 en management et marketing et deux garçons collégiens. Son épouse diplômée en coiffure a préféré s’occuper des enfants, charge qu’elle estime plus noble, mais très prenante.

Un cadre de l’éducation nationale.
Yacine, c’est sa personnalité idéaliste qui attire l’attention. Ce n’est ni sa formation, licencié en Génie Industriel ; ni son activité professionnelle, professeur de mathématiques, qui le distinguent. Son cursus scolaire est celui d’un cadre supérieur algérien de l’Éducation Nationale. Il a fait ses études, à Bouira, jusqu’à l’obtention du BAC Mathématiques en 1985. Il a poursuivi ses études supérieures et obtenu une licence en Génie Civil à l’université de Tizi-Ouzou en 1990.

Après ses études en 1990, il a rejoint le lycée de Bouïra pour enseigner les Mathématiques. En 2017, il part à la retraite prématurément,  pour des raisons de santé. Homme actif et militant dans l’âme, il ne s’est pas contenté d’attendre sa pension de retraite à la fin du mois et de ‘tuer son temps’ en restant oisif. Quelques mois plus tard, il avait créé une association de parents d’élèves à Bouïra, le « DEFI », pour continuer son engagement politique et syndical. Il avait également créé une école privée de langues étrangères dans laquelle il était directeur et cogérant, de 2019-2020, pour mettre son expérience et son savoir au service des autres.

Être utile et servir sa communauté
Yassine est Awaqur dans le sang, par ses ancêtres et dans les actes, par son investissement dans l’association Tadukli et Tajma3t. S’il fallait une démonstration qu’il ne suffit pas d’être né dans un village pour épouser sa culture, s’identifier à lui et le servir ; Yacine en est un parfait exemple. Pour des raisons professionnelles de son père d’une part et des siennes d’autres part, il a passé plus d’un demi-siècle en dehors de Raffour. Bien sûr, il venait plusieurs fois par an, pendant les fêtes et pour rendre visite à ses proches. Ce n’est qu’en 2020 qu’il est venu résider à Raffour où il a acheter une maison. 

Toujours disponible pour servir et être utile, il a saisi l’opportunité, cette fois-ci, de se mettre au service de sa communauté Iwaquren. Les responsables de l’association TADUKLI sont venus le voir et lui demander de les rejoindre. Il avait accepté, volontiers. Il voulait contribuer à la vie sociale et culturelle en guise de reconnaissance à ses aïeux. Attaché au village natal de ses ancêtres, Taddert N’Lejdid détruit, il espérait activer pour le faire reconstruire. Il pensait que son expérience sera utile, à Tajma3t et aux associations, pour rassembler Iwaquren.

Fondateur d’organisations syndicales, il aidera à l’évolution du fonctionnement de Tajma3it vers une plus grande concertation et implication des personnes (hommes et femmes). Il incitera, intelligemment, à intégrer la femme dans la gestion du village. Enfin, un sujet qui lui tient à cœur, il aidera les enfants à sortir de l’immobilisme et de leur mal de vivre. 

Au début, il avait quelques appréhensions, craignant une intégration difficile. Il n’était pas connu de la majorité des citoyens; lui, non plus connaissait très peu de personnes en dehors de ses proches. Finalement, tout s’était très bien passé. Il a vite, d’une part, intégré la dynamique association Tadukli; et d’autre part pris place au sein de Tajma3t. Il a été  ‘adopté’ par les deux organisations pour devenir secrétaire général de l’association et Tamen « garant de la famille » à Tajma3it. Il ne s’arrête pas là. A l’occasion du renouvellement du bureau de Tajma3it, remarquant son dynamisme et sa disponibilité, il été élu membre et secrétaire général du bureau.

Yacine montre que l’identité Tawaqurt ne s’acquiert pas uniquement par le sol, lieu de naissance. Elle n’est pas la règle d’appartenance à sa communauté. Elle se transmet par l’éducation des parents, elle se consolide et s’affirme par la personnalité de l’individu. Combien de personnes nées en Algérie, dans le village de leurs ancêtres, chez nous à Iwaquren ou ailleurs en Kabylie, gardent une distance avec les leurs et avec leur origine ? Les exemples sont légion. Ceci n’est nullement un reproche, c’est une observation. Combien de personnes pérorent sur leur identité avec des phrases dithyrambiques et ‘disparaissent’ au moment d’agir ? Nous en connaissons beaucoup. Par contre, des exemples comme Yacine, qui sont présents et qui agissent, il y en a peu. L’amour pour les siens, Iwaquren, a besoin de preuves plus que d’une attitude ou d’un verbiage. Yacine vient de le prouver en peu de temps, il est un homme de parole et d’actes. Son implication dans les structures Iwaquren, Tajma3it et l’association Tadukli, ont été saluées par l’ensemble de la communauté. Bien entendu et fort heureusement, il avait trouvé d’autres personnes qui étaient animées par le même esprit, celui de servir l’intérêt général. Ils l’ont très bien accueilli et facilité son intégration. Depuis, il a aidé au rapprochement de Tajma3t avec l’association Tadukli. Un nouveau climat de confiance est instauré et une synergie des efforts facilite, maintenant, le déblocage des projets qui attendaient depuis des années. Une autre action dans laquelle il pense avoir été moteur est l’intégration des femmes dans la préparation des festivités du 4 novembre 2022. Il pense qu’un pas a été franchi pour ne plus ignorer Tiwaqurine qui ont toujours travaillé sans qu’elles soient visibles. Elles sont maintenant consultées et impliquées sur les sujets importants de la communauté.

Un profil de leader
Dans la gestion d’une communauté ou d’un groupe social, la connaissance du milieu culturel, des traditions et des règles de vie communautaires est une nécessité. Mais elle n’est cependant pas suffisante pour autant. La maîtrise de facteurs et d’outils de communication orale et écrite sont indispensables pour expliquer, convaincre, impliquer et entrainer les citoyens de cette communauté dans une dynamique constructive. Yacine, avec sa riche expérience, a acquis ces outils et ces méthodes dans sa vie professionnelle et syndicale. Il les a employés lors des négociations et dans la gestion des conflits. Il en fera usage à bon escient, chez nous ; nous avons besoin.

L’attitude, la prise de parole, l’élocution, le regard, le ton, ne sont pas des dons. Ils s’apprennent et s’acquièrent dans le temps et avec la pratique dans des sphères publiques diverses. Quand on regarde Yacine marcher, il donne l’impression de marcher sur des œufs, sur de l’eau ou sur le pont d’un bateau pris dans la tempête. Quand il discute, il applique une ponctuation et prend un ton pour faire passe un message important. Quand il s’adresse à un public, il est décontracté mais tient une stature ferme et droite. Il s’exprime sans métaphore ni postures pour séduire. Il pense que son message n’a pas besoin de tournures de phrase, d’habillage ou de…..Il est convaincu de la clarté, de la pertinence et de la justesse de son discours. Il est factuel, réel et sans détour pour montrer la direction à prendre.

Sa vie de militant lui a appris que rien n’est stable ni sûr. Il est toujours en équilibre et sur ses gardes pour parer à toute réaction inattendue ou manœuvre déstabilisatrice. Une certitude et une assurance, il sait ce qu’il veut, il sait où il va et comment y arriver. Dans sa prise de parole, son visage est impassible, une voix ferme avec un timbre d’assurance et de conviction de ce qu’il dit. Dans des situations de stress et de tensions, il ne laisse rien paraître, il maîtrise ses émotions pour rassurer les autres. Pour lui, toute difficulté à une solution dans la sérénité et la concertation. Il montre une ouverture d’esprit et une acceptation de solutions alternatives. Il est diplomate sans langue de bois. Il sourit sans être béat et n’utilise pas de métaphore ou expression toute faite pour séduire. La justesse des mots, le ton ferme et le regard fixe suffisent pour être compris sans jouer avec l’expression du visage.

Toutes ses qualités, son talent de leader et de négociateur habile, Iwaquren en ont besoin. Yacine, récent dans le village, découvre sa communauté en même temps qu’il agit ; ce qui lui sied. Il aime découvrir le terrain en naviguant, aidé de son expérience et de ses savoirs. Yacine a trouvé un cadre idéal pour s’exprimer pleinement et utilement.

Un militant syndical aguerri,
En Algérie, jusque dans les années quatre-vingt-dix, toute action militante en dehors du FLN et de l’UGTA, relais de l’état, était interdite. Ces organisations étaient les seules à avoir des centres de formation pour relayer leur idéologie. Ces centres étaient réservés à leurs adhérents. Alors pour les autres, des millions d’algériens, ils apprenaient le militantisme et la lutte dans leurs environnements familial, culturel et social, ‘clandestinement’. Yacine, fait partie de ceux-là. Il a eu la fibre militante très tôt, dans son adolescence. Il pense même qu’elle est innée en lui. A lire ses activités et les actions qu’il a menées depuis une quarantaine d’années, son palmarès est évocateur. Je ne détaillerai pas ses faits d’armes, ici ; cela prendrait des heures. Je lui laisse, à lui, le soin, un jour,  d’écrire sa biographie ; elle sera édifiante.

C’est dans son environnement familial qu’il a ‘attrapé le virus’ de servir son pays, notamment, avec l’histoire de son père. Il en a hérité le sens de la lutte pour la cause nationale, de l’engagement pour l’intérêt général et de servir sans jamais se servir. Mais, au-delà de cet héritage et d’être LE FILS DE, Yacine est une personnalité qui a sa propre destinée, tracé son chemin et créée son histoire. En cela, il est HAMRAOUI YACINE. 

Arrivé à maturité, il a pris conscience du contexte socio-politique dégradé et préoccupant de son pays. Il avait la ferme intention de devoir s’engager politiquement ‘pour changer les choses’. Son analyse a créé, chez lui, une conviction et une volonté d’agir pour améliorer les conditions de la vie économique et sociale des algériens. D’ailleurs, Il n’avait pas tardé à passer du constat à l’action. Il s’était engagé dans plusieurs syndicats étudiants et professionnels. Il avait même milité dans un parti politique, lorsqu’on avait libéré le champ politique pendant 2 ans. Déçu et insatisfait, il avait fini par créer son syndicat.

La première opportunité fût son inscription à l’université de Tizi-Ouzou pour suivre ses études supérieures. Cette université est réputée pour être une école de militantisme culturel et social. Se former aux sciences et ‘affûter’ son appétit d’action pour un idéal qu’il se fait pour une société juste et sociale, était ce qu’il recherchait. Il l’avait trouvé dans ce temple de la lutte. Dès son arrivée, en 1986, il avait intégré un comité d’étudiants SATEF. C’était sa première expérience dans le militantisme collectif

Devenu enseignant dans le lycée Houari Boumediène de Bouïra il avait vécu de l’intérieur la déliquescence du système éducatif et constaté ses conséquences sur l’école algérienne. Son activité d’enseignant n’avait fait que confirmer sa volonté de s’engager et de s’investir sans réserve dans la recherche d’amélioration des conditions et des programmes de l’enseignement secondaire. Ainsi, il est passé par l’UGTA, le SNAPAP, SATAF, ‘syndicats autonomes’. Assez vite, il s’était rendu compte des limites d’action dans ces organisations aux structures lourdes où on mêle politique et syndicalisme. Il avait alors décidé de créer un nouveau cadre syndical dans lequel il exprimera ses propres convictions et sa liberté d’action. Il l’appellera CTEB, en 2002, Coordination des Travailleurs de l’Education de Bouira. Eternel et infatigable ‘chercheur’ d’un idéal, il se rend compte que ce cadre était trop régional pour porter des revendications à caractère national. En 2003, il passe à un autre stade en fondant un syndicat national CNAPEST (actuellement CNAPESTE) où il avait occupé le poste du secrétaire national chargé des finances, moyens et patrimoine de 2003 à 2014. Il décide de démissionner du bureau national.

Durant ses mandats de syndicaliste, il a été, à deux reprises le négociateur d’accords avec les autoritésde l’état. Le premier avec la wilaya de Bouira, quand il était responsable du CTEB, après un mouvement de grève très suivi. Le deuxième avec le gouvernement ; il le négociateur. 

Un militant harcelé et privé de ses droits civiques
Son activisme militant lui a causé de sérieux ennuis avec les autorités. Là aussi, sans être exhaustif, en voici quelques-unes de ses déboires et démêlés avec le pouvoir d’alors. Il a eu des inspections pseudo-pédagogiques répétées, plusieurs plaintes du gouvernement, la suspension de son poste de travail en octobre 2003, une radiation de la fonction publique en novembre 2003, une mise sous contrôle judiciaire pendant presque deux ans (d’avril 2005 à février 2007), une interdiction de quitter le territoire national et de la wilaya pendant des mois avec une obligation d’une présentation au tribunal chaque mercredi pendant toute période. Il ne site que les faits instruits administrativement et judiciairement. Il ne veut pas énumérer le harcèlement psychologique et professionnel, non judiciarisé. En échangeant avec lui, il ne garde aucune haine ou rancune. Cependant, il pense que justice lui a été rendu pour un premier ministre qui avait donné l’ordre à un tribunal de le déchoir de ses droits civiques. Celui-ci, s’était retrouvé devant le même tribunal qui l’a condamné à une très lourde paine. . 

Un fédérateur
Les bouleversements intervenus dans ce 21ème siècle changent la physionomie du monde et de la planète. Ils affectent tous les pays, toutes les régions jusque dans nos villages. Nous, Iwaquren, nous avons mis du temps pour prendre conscience de l’impact de ces bouleversements sur notre quotidien. Nous pensions, jusqu’à ces derniers mois, que la gestion d’une communauté au 21ème siècle doit se référer, de manière intrinsèque et indéfiniment, aux codes anciens et aux méthodes artisanales et tribales. Nous pensons, toujours, que la gestion de notre communauté était sans impact sur nous Iwaquren, qu’on soit à Raffour ou ailleurs en Algérie ou à l’étranger.

Oh que si. Comment être indemne quand vous êtes résidant à Raffour ou à Taddert N’Ljedid ? Rentrez chez vous après une dizaine d’heures passées entre le travail ou les études et le transport et vous retrouver sans initiatives pour contribuer à la vie de votre village, n’est-ce pas frustrant ? Comment ne pas être indemne quand vous passez vos week-ends et vos vacances dans une communauté où rien ne bouge, voire se dégrade ? Comment être indemne quand, de l’étranger vous constatez que les autres villages innovent et avancent culturellement et que chez nous, on est au même stade que dans années 80, voire pire ? Comment ne pas être indemne quand Tajma3t devient une force d’opposition aux associations de bénévoles animées par ses enfants ? La gestion de la communauté peut favoriser l’épanouissement de ses citoyens ou les nuire. Heureusement, dans notre cas, une nouvelle ère est devant nous, elle est porteuse d’espoir. La gestion de Tajma3it exige le mariage du meilleur de nos traditions, élaguées des tabous et des ‘enjeux politicards’ et individuels, avec la sincérité dans la défense de l’intérêt général. Une nouvelle équipe constituée de membres de l’association Tadukli et des membres de Tajma3t s’attèlent, ensemble, pour ranimer la vie à Raffour et à Taddart N’Lejdid. Ce travail a commencé grâce à l’association TADUKLI que Yacine avait rejoint dès son arrivée.

C’est une chance d’avoir Yacine, avec nous, comme un leader, avec d’autres sur lesquels je prépare un écrit comme celui-ci. Nous avons la chance d’avoir un des nôtres qui est un artisan du mariage de la tradition et de la modernité. Il est instruit, cultivé et utilisateur des nouvelles technologies ; savoirs indispensables dans notre monde actuel. Venant d’arriver dans le village, il a une présomption de neutralité. Il est étranger aux joutes qui ont pu avoir lieu les années précédentes. Son principal atout est son désir d’être utile et son désintérêt matériel hormis celui de servir. Il n’a pas à plaire ou déplaire, il n’a pas à convaincre sur ses capacités et son expérience de militant bénévole, il a fait ses preuves.

Il est le responsable idoine pour les missions qu’exigent la gestion de notre Taddert. Il a toutes les compétences nécessaires pour être à la hauteur de ce qu’on lui demande. Il est d’un niveau d’instruction capable de discuter avec des hommes politiques et des cadres de l’état, sur tous les sujets. Ce n’est pas une annonce soporifique ou du verbiage, il est un militant aguerri, son palmarès le démontre.

HAMICHI SAID

3 commentaires sur « HAMRAOUI Yacine : Un nom à retenir, un Awaqur à découvrir »

  1. OUI, SAID, YACINE EST VITE REMARQUE MEME S’IL NE FAIT PAS BEAUCOUP DE BRUIT.
    JE L’AI, PERSONNELLEMENT, CONNU, IL Y A UN PEU PLUS D’UNE ANNEE, LORSQUE LES ANCIENS MEMBRES DE TADUKLI ETAIENT VENUS ME VOIR, A TAZMALT, POUR UN BESOIN CHEZ UN AMI VETERINAIRE. IL ETAIT UNE NOUVELLE TETE ET MOHAND TIGRINE ME L’AVAIT PRESENTE.
    IL ETAIT SYMPATHIQUE, RESPECTUEUX, CALME ET BON OBSERVATEUR AVEC QUELQUES BELLES ET UTILES INTERVENTIONS.
    IL M’AVAIT VITE IMPRESSIONNE, LUI LE FILS DE CELUI QUE J’AVAIS ASSEZ BIEN CONNU ET QUE J’AIMAIS BIEN.
    SANS SAVOIR D’OU IL VENAIT, JE SAVAIS QU’IL ALLAIT ETRE UN « GRAND » ET UNE « BELLE PIECE » SUR L’ECHIQUIER DES IWAQUREN DE TADDART.
    ET C’EST LE CAS.
    COMME DANS LE PHENOMENE DE GROUPE, UN LEADER EST VITE SORTI ET IL S’APPELLE YACINE.
    IL A TOUT POUR L’ETRE ET JE NE VAIS PAS ENUMERER SES QUALITES.
    C’EST UN LEADER ET C’EST TOUT, J’OSE DIRE.
    J’EN SUIS TRES CONTENT MAIS JE SOUHAITE GRANDEMENT QU’IL REUSSISSE A CONVAINCRE ET A REALISER.
    JE CONSTATE UNE BELLE HARMONIE AU SEIN DES MEMBRES DES DEUX ASSOCIATIONS DE TADDART ET C’EST UNE EXCELLENTE CHOSE.
    EN UN MOT, EN CE MOMENT, JE PENSE QUE NOUS DISPOSONS DE L’ENSEMBLE DES MOYENS POUR REALISER, SURTOUT LA HAUT A TADDART QUI EN A GRANDEMENT BESOIN.
    EN CE QUI ME CONCERNE, JE REITERE MA DISPONIBILITE A OFFRIR TOUT CE DONT JE SUIS CAPABLE, SELON MES DISPONIBILITES ET MES MOYENS.
    MERCI A TOI, SAID, COMME D’HABITUDE ET UN GRAND MERCI POUR NOTRE YACINE POUR TOUT CE QU’IL ACCOMPLI.
    TADDART, LES ANCETRES, LES MARTYRS ET IWAQUREN TE SONT RECONNAISSANTS ET YEMMA KHLIDJA VEILLERA SUR TOI.
    JE VOUS SALUE ET JE VOUS EMBRASSE TOUS LES DEUX.
    MOHAND SAID AT MUSSA

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